Louis Sarkozy : De l’Amérique à Menton, un nouveau chapitre politique s’ouvre

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Une annonce qui fait grand bruit

Louis Sarkozy, fils de l’ancien président de la République, vient d’officialiser sa candidature aux élections municipales de Menton (Alpes-Maritimes) prévues en mars 2026. Dans sa déclaration, il se positionne comme le candidat du ‘renouveau’, affirmant que ‘Menton exige du sang neuf’.

Un parcours international

Né le 28 avril 1997 en France, Louis Sarkozy a suivi un parcours éducatif rigoureux, notamment à la Valley Forge Military Academy en Pennsylvanie, une institution qui a joué un rôle crucial dans la formation de son caractère. Il a ensuite poursuivi ses études à l’Université de New York, où il a obtenu un double diplôme en Histoire et Philosophie.

Une présence médiatique croissante

En ce début 2025, Louis Sarkozy s’est fait remarquer par ses interventions sur LCI et ses chroniques régulières dans Valeurs actuelles. Il s’est également fait connaître dans le monde anglophone en promouvant son travail sur la bibliothèque de Napoléon à travers des podcasts historiques et sur C-SPAN.

Un projet politique ambitieux

Sa candidature à Menton démontre une approche politique moderne, combinant la culture américaine des campagnes électorales avec les traditions françaises. Le projet s’est concrétisé officiellement avec la création d’une ‘association pour le financement de la campagne électorale de la liste menée par Louis Sarkozy pour les élections municipales de mars 2026 à Menton’.

Un profil politique distinct

Sur le plan idéologique, Louis Sarkozy se démarque par des positions progressistes sur certains sujets, comme son soutien à la légalisation du cannabis. Il affiche également une position résolument pro-ukrainienne et se définit comme un ultralibéral, se différenciant ainsi de son père qu’il qualifie d”étatiste’.

Pour concrétiser ses ambitions à Menton, il a déjà acquis un pied-à-terre dans la ville. Les observateurs suivront attentivement ses prochaines démarches administratives, ses premiers rassemblements publics, et sa stratégie électorale, notamment s’il choisira de mener une liste indépendante ou de négocier des alliances pour le second tour.

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