Dans la situation très dure qui est celle de l’Algérie, l’auto-gouvernement et la vision politique d’un confédéralisme démocratique constituent pour de nombreux Algériens une issue pacifiste concrète et viable, même si très difficile à réaliser.
La pratique démocratique kabyle des assemblées locales d’habitants et du confédéralisme, qui remonte à des temps immémoriaux et que les générations ont su adapter, à chaque fois, aux conditions nouvelles de vie, a non seulement eu un rôle historique décisif dans les résistances passées (contre les Turcs ou les Français), mais a été revivifiée à plusieurs reprises dans l’histoire récente (et particulièrement lors du Printemps noir de 2001 et l’insurrection en Kabylie), à l’occasion des mobilisations citoyennes et politiques d’ampleur, récurrentes, destinées à secouer ou à renverser le joug du pouvoir central oppresseur. En écho aux besoins de liberté et de mieux-être économique et social, en réponse à la répression et à la prédation de l’État, elle propose une méthode politique de changement, par le bas, par les citoyens ordinaires.
L’organisation politique traditionnelle kabyle : un idéal de démocratie…
Si l’on apprend, en Occident et parfois ailleurs, dans les grandes écoles, universités de droit ou à l’école, que la Démocratie est une invention occidentale, une étude sérieuse de l’histoire des autres peuples, qu’ils soient du Moyen-Orient, d’Afrique, d’Asie, d’Amérique Latine ou d’Océanie, montre que la démocratie – le fait que chaque habitant puisse participer directement, et d’égal à égal, à la prise de décision politique – compte parmi les traits humains les mieux partagés, présente ici et là, certes de manière non constante et à des degrés et selon des formalités divers, à travers l’histoire des différentes sociétés. N’en déplaise à certains – et cela contredit directement la floraison de professeurs, experts politiques et autres journalistes selon lesquels si les choses vont si mal en Afrique c’est tout simplement parce que les Africains ne sont « pas encore prêts » pour la Démocratie – le continent africain est loin d’être le plus mal loti en la matière, que ce soit au sud ou au nord du Sahara.
Mais, dans l’histoire mondiale des pratiques démocratiques, rares sont les expériences qui ont eu, ou ont, la pérennité et la constance (bien sûr, avec de multiples adaptations au gré des circonstances et des épreuves) du système politique kabyle : un système d’assemblées locales d’habitants pour décider des affaires communes, si ancien que son origine est difficile à déterminer, et qui a perduré (avec des hauts et des bas) jusqu’à nous jours, au point de revenir dans la dernière décennie au devant de la scène, comme issue politique crédible, inclusive et pacifique pour une société algérienne en proie à de très grandes difficultés.
La lecture de l’ouvrage La Kabylie et les Coutumes kabyles de Hanoteau et Letourneux avait fait dire à l’historien, philosophe et écrivain français Ernest Renan (1823-1892) que «l‘organisation politique kabyle représente l’idéal de la démocratie, telle que l’ont rêvé nos utopistes». Quel était donc ce système politique sans policier, ni gendarme, ni militaire, qui a fonctionné efficacement pendant des siècles ?
Un système politique de démocratie directe, basé sur l’assemblée générale des habitants du village ou de la ville : la Tajmat (ou Agraw). Les pouvoirs de la Tajmat s’étendaient jadis à tout ce qui intéressait le village. Rien n’échappait à son examen ni à son contrôle, si bien que l’énumération de ses attributions exigerait la liste complète de toutes les questions qui peuvent surgir dans une réunion d’êtres humains vivant en société.
Ouvertes par le passé aux femmes comme aux hommes, « ce n’est qu’à partir du 18ème siècle, que la femme kabyle a cessé de siéger directement dans les Tajmat. Avec la conquête à cause des massacres, des viols, sa situation s’est dégradée. C’est un exemple frappant des bienfaits de la colonisation. Les hommes se sont mit à enfermer, cacher leurs femmes, leurs filles et leurs sœurs pour les protéger » (1).
A la Tajmat, l’adoption de toute décision exigeait l’unanimité des participants. Ainsi, par consensus, chaque assemblée débattait et résolvait les affaires administratives, juridiques et politiques de chaque village.
En cas de besoin, et en fonction des circonstances, ces assemblées se coordonnaient et prenaient des décisions communes par le biais d’assemblées de leurs représentants, voire se regroupaient en « confédération », les qabila.
… Au cœur des résistances passées et récentes
Une forme d’auto-gouvernement qui a accompagné toutes les grandes résistances, insurrections et révoltes populaires de la Kabylie. Ainsi de la résistance contre les Turcs, puis contre les Français : il fallut pas moins de 27 années à l’armée française pour parvenir à conquérir le massif Agawa, en 1857. Les efforts de coordination des Tajmat ne furent bien évidemment pas étrangers non plus au succès de l’insurrection de 1871 (insurrection d’El-Mokrani) qui gagna toute la Kabylie dans une grande révolte populaire. Tant bien que mal, l’institution de l’assemblée d’habitants (devenue malheureusement, comme on l’a vu, l’assemblée des hommes), la Tajmat, survécut, plus ou moins bien selon les endroits, à la colonisation, parfois en se « contentant » d’initier des actions en faveur de la collectivité dans les villages (chantiers d’intérêt commun, actions de solidarité).
A l’occasion et à partir du Printemps berbère de 1980, et dans le cadre des luttes menées par le mouvement culturel berbère dans les vingt années qui ont suivi, les Tajmat vont connaître un nouvel essor et une réactivation : » la répression, autant que la volonté d’agir où c’était possible, poussèrent alors nombre de jeunes à s’intéresser et à participer directement aux affaires de leurs villages » (2). « Cette prise de conscience de la citoyenneté déclenchée dans la rue par la population en 1980 permet aux assemblées de se restructurer (…) Une nouvelle conscientisation de la chose publique s’enclenche » (3).
« Dès 1984, sous l’effet de la répression, les jeunes contestataires se replient sur leurs villages. Comme si, impuissants à construire à l’échelle nationale ou régionale l’espace de liberté dont ils rêvaient, ils se résignaient à le réaliser d’abord chez eux. Ils réinvestissent la tajmat » (4), bientôt transformée par les autorités étatiques en « comités de village » : car « la tajmat est suspectée non seulement de faire concurrence aux structures administratives mises en place par l’État, mais en plus, elle devient un lieu de contre-pouvoir qui échappe au contrôle de celui-ci » (5). Ce qui n’empêche pas les habitants de la majeure partie de la Kabylie de continuer « à utiliser la dénomination de tajmat et non de comité, car ce sont les principes et l’esprit de la tajmat qui prévalent dans ces structures » (6).
Au cours de la décennie 80, « une véritable révolution silencieuse bouleversa ainsi les villages de Kabylie » (7) : « partout, dans le massif central kabyle, la vénérable institution acquiert une personnalité morale, un compte en banque et pourvoit à l’essentiel des besoins du village » (8). Rassemblant jeunes et moins jeunes, la Tajmat, face aux injustices, à l’incurie et à la répression de l’État, est perçue comme « un modèle d’institution représentant le peuple contrairement aux institutions étatiques. Elles sont un modèle de démocratie directe auquel les individus s’identifient et grâce auxquels ils produisent de la citoyenneté. La participation à la vie de la Cité, l’espace de liberté, l’espace de l’expression, la citoyenneté s’exercent au sein même du local » (9).
Printemps noir et insurrection de 2001 en Kabylie, nouvelle renaissance du mouvement des assemblées et tentatives de confédéralisme : vers une issue politique et sociale ?
Après les multiples répressions étatiques, dans des bains de sang, qu’ont connues les Algériens, c’est l’assassinat dans les locaux de la gendarmerie d’un jeune lycéen de 18 ans, Massinissa Guermah, qui sera l’étincelle de l’insurrection du Printemps Noir : « assemblées générales, sit-in, manifestations, tournées d’informations, affrontements avec les « forces de l’ordre », ont donné naissance à la plus extraordinaire des mobilisations citoyennes de l’Algérie indépendante. Et pourtant, la plupart des observateurs ont boudé l’événement. Comme déboussolés par cet objet démocratique non identifié qu’est le « mouvement citoyen » de Kabylie » (10).
Le « 18 avril 2001, à Beni Douala, la population se mobilise immédiatement autour des représentants des tajmat (…) Si les manifestants et les regroupements spontanés des citoyens de la localité récusent élus et hommes politiques, ils acceptent la médiation des représentants des comités de villages des environs. Devant l’ampleur de l’indignation et de la colère, ces derniers s’organisent en coordination communale, puis cantonale. La formule fait florès dans l’ensemble de la Kabylie et bientôt ces emboîtements de coordinations s’organisent au niveau départemental puis interdépartemental. Un règlement intérieur élabore rapidement des procédures de représentation et de délibération. Une plate-forme de revendication et un code d’honneur des délégués sont bientôt entérinés. D’extraordinaires manifestations de rue succèdent à tous les congrès du mouvement » (11).
Le mouvement prend ainsi une ampleur politique nationale, et vise à s’attaquer directement à l’injustice sous toutes ces formes que subit la population algérienne. Grâce à l’expérience des luttes passées, les Tajmat ont fait « preuve de maturité politique en se dotant d’une direction tournante pour tenter d’éviter les manœuvres des « services » et la récupération partisane. Elles ont appliqué à elles-mêmes leur revendication démocratique, avec un système de représentation par mandat, des procédures rigides sanctionnées par un règlement intérieur et des ordres du jour empruntés à la culture politique moderne. Certaines rencontres importantes ont rompu avec la règle traditionnelle de l’unanimisme pour adopter le principe de la majorité des deux tiers. Et les coordinations ont inscrit d’emblée leur combat à l’échelle nationale, attirant même des représentants de plusieurs départements du reste de l’Algérie. Car il n’a jamais été question pour leurs animateurs de réserver leurs revendications à la seule Kabylie, comme le dit très clairement ce communiqué de la coordination de Tizi Ouzou : « Il s’agit de revendications citoyennes dictées par la situation générale de l’Algérie faite de misère sociale, d’indigence culturelle ou de déni identitaire. [...] Notre combat à tous : celui de la dignité de tous les Algériens dans une république libre, démocratique et sociale. Une république de citoyens d’où seront bannies la hogra (le mépris), la marginalisation et la misère sous toutes ses formes. »" (12)
Les Tajmat s’associent selon un système confédéral, chacune envoyant ses délégués (les Aârouchs, aarch au singulier) – le nombre de représentants pour un village est proportionnel au nombre d’habitants – à l’assemblée du département (willayas) pour coopérer et prendre les décisions communes. « Les assemblées délèguent ceux qu’elles jugent les plus compétents, elles usent de leur pouvoir de révocation et dans certains endroits – impossible de savoir si cette pratique est très répandue – il y a une rotation systématique des délégués » (13). Les Tajmat, assemblées générales des villages et des quartiers « se fédèrent en coordination de willaya (…) Enfin, il y a une coordination inter-willaya. Les délégués des rencontres de la coordination ont un mandat strict de porte-parole de leur collectif de base et sont révocables à tout moment. La seule structure permanente est la commission de solidarité, dépourvue de tout pouvoir politique, dont le rôle exclusif est de recenser les blessés, d’assurer la collecte nationale et internationale des médicaments et, pour les cas d’extrême gravité (blessures lourdes par balle de guerre), d’en référer à une commission médicale indépendante constituée par des médecins. La coordination de willaya est chargée d’appliquer les décisions prises par l’assemblée des délégués. Ce sont des rencontres longues, difficiles et souvent lourdes et épuisantes car l’accord ne peut se faire qu’au consensus ou bien, en cas d’impasse, à la majorité des trois quarts » (14).
Citons encore l’excellent article de Robert de Vasseur : « [l]a question s’est donc très vite posée de l’élaboration des moyens d’une fédération des comités de villages et de quartiers, sur une vaste échelle et pour une lutte historique de longue haleine (…) Lors du conclave des 27 et 28 septembre 2001 (…) la coordination interwilayas a adopté les Principes directeurs du mouvement. En voici quelques extraits :
« (…) Le mouvement d’essence démocratique, résolument pacifique, revendicatif et citoyen a affirmé ses principes : l’indépendance et l’autonomie du mouvement vis-à-vis du pouvoir et des institutions de l’État. Refus de toute forme d’allégeance ou de substitution aux formations politiques (…) Le mouvement s’interdit de se transformer en parti politique, en relais ou en rampe de lancement de partis politiques et de toutes autres associations (…) Les délégués sont élus en assemblées générales des villages et des quartiers (…) Les coordinations de wilayas ont l’autonomie d’action et de structuration dont la base est la commune (…) Respect du principe de l’horizontalité du mouvement (…) Les propositions de réflexions et d’actions doivent émaner d’abord des coordinations locales, puis être synthétisées au niveau des coordinations wilayales puis interwilayas (…) Chaque coordination de wilaya se présente au conclave interwilayas munie du procès verbal sanctionnant les travaux de son conclave (…) » » (15).
En forme de conclusion :
Riche, complexe, le mouvement des assemblées en Algérie est un « ovni politique » remarquable, bien qu’en proie à toutes sortes de difficultés, l’État et la violence, le contexte, la difficulté de la lutte, la difficulté de s’organiser, et le non-relai par les médias dominants, en Algérie ou ailleurs. Un des éléments que l’on peut regretter est évidemment l’absence des femmes dans les Tajmat – ou dans la plupart, selon nos recherches -, et cela même si il y a plus de 200 ans elles y participaient.
Cet article ne se veut en rien une référence quant au Mouvement des Assemblées en Algérie. Nous avons juste entrepris de recouper des informations disponibles sur internet, en citant longuement des articles bien plus complets et renseignés, et que le lecteur intéressé doit lire : en particulier les articles de George Rivière, d’Alain Mahé et de Robert de Vasseur. On conseille aussi tout particulièrement le livre d’Hamid Chabani, Le printemps noir de 2001 en Kabylie – Le cas de la coordination communale d’Ain-Zaouia, (Éditions l’Harmattan, 2011) dont Populaction tachera de faire un compte-rendu dans un futur proche.
De plus, le grand défaut de la présente synthèse étant de ne pas être actuelle, articles ou témoignages d’Algériens ou connaisseurs sur le phénomène et le mouvement, son passé ou son actualité, seront les bienvenus sur Populaction.
Concluons avec George Rivière : « en mettant en péril à la fois le pouvoir en place mais aussi les partis démocratiques très implantés dans cette région, en subvertissant les modes traditionnels de représentation, [le mouvement des Aârouchs, des assemblées] se présente comme un possible facteur de transformation sociale en Algérie et – de toute façon d’ores et déjà – comme une référence pour les mouvement sociaux radicaux de notre époque » (16).
NOTES :
(1) « La Kabylie et la démocratie », Par Mus, disponible sur :http://www.la-kabylie.com/tradition-9-La-Kabylie-et-la-democratie.html
(2) Dossier : l’Algérie Libertaire, Entretien sur la situation en Algérie, Entretien de Robert de Vasseur, disponible ici : http://www.theyliewedie.org/ressources/biblio/fr/Vasseur_Robert_-_L%27Algerie_libertaire.html
(3) Hamid Chabani, Le printemps noir de 2001 en Kabylie – Le cas de la coordination communale d’Ain-Zaouia, Éditions l’Harmattan, 2011, p. 46
(4) Alain Mahé, « Mobilisation citoyenne en Kabylie – La révolte des anciens et des modernes« , Alternatives Internationales – Mars-Avril 2003 – n°7 : consulté sur http://www.mondeberbere.com/presse/200303_mahe_altint.htm
(5) Hamid Chabani, Le printemps noir de 2001 en Kabylie – Le cas de la coordination communale d’Ain-Zaouia, Éditions l’Harmattan, 2011, p. 47
(6) Hamid Chabani, Le printemps noir de 2001 en Kabylie – Le cas de la coordination communale d’Ain-Zaouia, Éditions l’Harmattan, 2011, p. 47
(7) Alain Mahé, « Mobilisation citoyenne en Kabylie – La révolte des anciens et des modernes« , Alternatives Internationales – Mars-Avril 2003 – n°7 : consulté sur http://www.mondeberbere.com/presse/200303_mahe_altint.htm
(8) Ibid.
(9) Hamid Chabani, Le printemps noir de 2001 en Kabylie – Le cas de la coordination communale d’Ain-Zaouia, Éditions l’Harmattan, 2011, p. 46
(10) Alain Mahé, « Mobilisation citoyenne en Kabylie – La révolte des anciens et des modernes« , Alternatives Internationales – Mars-Avril 2003 – n°7 : consulté sur http://www.mondeberbere.com/presse/200303_mahe_altint.htm
(11) ibid.
(12) Ibid.
(13) Dossier : l’Algérie Libertaire, Entretien sur la situation en Algérie, Entretien de Robert de Vasseur, disponible ici : http://www.theyliewedie.org/ressources/biblio/fr/Vasseur_Robert_-_L%27Algerie_libertaire.html
(14) Georges Rivière, « Algérie, l’insurrection libertaire du Mouvement des assemblées dit des Aârouchs » : consultable sur http://rougememoire.free.fr/dotclear/share/textes%20html/%5BTextes%20anarchistes%5D%20%5Bbiblioth%E8que%20virtuelle%20libertaire%5D%20%5Banarchie%20-%20anarchisme%5D%20Riviere%20Georges%20-%20Les%20Aarouchs.html
(15) Dossier : l’Algérie Libertaire, Entretien sur la situation en Algérie, Entretien de Robert de Vasseur, disponible ici : http://www.theyliewedie.org/ressources/biblio/fr/Vasseur_Robert_-_L%27Algerie_libertaire.html
(16) Georges Rivière, « Algérie, l’insurrection libertaire du Mouvement des assemblées dit des Aârouchs » : consultable sur http://rougememoire.free.fr/dotclear/share/textes%20html/%5BTextes%20anarchistes%5D%20%5Bbiblioth%E8que%20virtuelle%20libertaire%5D%20%5Banarchie%20-%20anarchisme%5D%20Riviere%20Georges%20-%20Les%20Aarouchs.html
PLUS D’INFORMATIONS :
- Hamid Chabani, Le printemps noir de 2001 en Kabylie – Le cas de la coordination communale d’Ain-Zaouia, Éditions l’Harmattan, 2011, p. 46
- « La Kabylie et la démocratie », Par Mus, disponible sur :http://www.la-kabylie.com/tradition-9-La-Kabylie-et-la-democratie.html
- Georges Rivière, « Algérie, l’insurrection libertaire du Mouvement des assemblées dit des Aârouchs » : consultable sur http://rougememoire.free.fr/dotclear/share/textes%20html/%5BTextes%20anarchistes%5D%20%5Bbiblioth%E8que%20virtuelle%20libertaire%5D%20%5Banarchie%20-%20anarchisme%5D%20Riviere%20Georges%20-%20Les%20Aarouchs.html
- Alain Mahé, « Mobilisation citoyenne en Kabylie – La révolte des anciens et des modernes« , Alternatives Internationales – Mars-Avril 2003 – n°7 : consulté sur http://www.mondeberbere.com/presse/200303_mahe_altint.htm
- Dossier : l’Algérie Libertaire, Entretien sur la situation en Algérie, Entretien de Robert de Vasseur, disponible ici : http://www.theyliewedie.org/ressources/biblio/fr/Vasseur_Robert_-_L%27Algerie_libertaire.html
- « Démocratie kabyle. Les Kabyles : une chance pour la démocratie algérienne ?», Hérodote, n° 65-66,2e-3e trim. 1992, p. 63-74.
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